samedi 28 juin 2014

Le temps d'après les fondateurs, de 1985 à 1991, simple abri

De 1985 à 1991. 

André et Andréa ne sont plus là. Le petit cabanon bien modeste est devenu une cuisine d'été. La petite maison est devenue une villa de deux appartements, sur deux niveaux, avec un jardinet. 
André et Andréa ont laissé une certaine idée du bonheur à Simple Abri.

Dans l'esprit de Rémi, son avenir doit se faire à Simple Abri. Mais l'appartement est trop petit, mal commode et nécessiterait beaucoup trop de travaux.   Il faudrait trouver des fonds pour réaliser ces travaux. Son frère a décidé de ne rien faire et ne veut pas dépenser un sou. Donc Rémi a compris que s'il ne peut pas agrandir, moderniser, il n'est pas question pour lui de vivre dans un trois pièces de 45 m².
La commune qui vient de changer de municipalité,  va faire construire puis vendre des logements neufs.  Il se positionne tout de suite pour acheter un grand appartement avec toit terrasse. Les plans sont ébauchés,  le promoteur achète le terrain et commercialise ses lots. La déception arrive tout de suite.  La vente de l'appartement de Cagnes ne lui permettra pas de financer l'acquisition  du nouvel appartement. Il faut revoir les prétentions à la baisse.  Il choisit donc de retenir un appartement au premier étage, un trois pièces  avec deux balcons. 
Le projet se concrétise en 1988.  L'appartement de Cagnes est rapidement vendu. Rémi et Michelle emménage de nouveau à Simple Abri le temps que l'immeuble soit construit et parfaitement terminé. Cette fois,  ils ont le temps. Ils ne rentreront pas dans l'appartement avant  que tout soit peint, décoré, rangé...
Ils choisissent avec minutie l'aménagement intérieur. Une salle de bain avec une baignoire à jets massant, un grand miroir sur tout un pan de mur, un carrelage mural autre que celui prévu par le promoteur, du parquet dans les chambres, et une cuisine aménagée sur mesure.
Tous les soirs, de retour de son travail, Rémi vient surveiller l'avancée des travaux, les défauts à rectifier…
Avec Philippe, son second fils, ils posent le parquet des chambres, la tapisserie au mur, font la peinture… Philippe vient de se séparer de sa femme, de quitter son emploi dans la restauration et les a rejoint à Simple Abri.
Puis enfin tout est prêt, les clefs sont remises, le déménagement peut commencer. Début décembre 1990, le garde meuble livre les cartons et les meubles. 
Au même moment,  leur fille, la petite dernière, leur annonce qu'elle veut se marier.
Les tableaux sont accrochés au mur, les meubles remplis, les placards organisés de telle sorte que le soir du 24 décembre le réveillon peut y être célébré.
Simple Abri est maintenant devenu l'habitation principale de Philippe. 
Le mariage se prépare doucement. Il aura lieu au village. La date est fixée au premier juin prochain.
Il faut organiser un grand mariage. On choisit donc avec soin la robe de la mariée, celles de petites demoiselles d'honneur, les dragées….
Le grand jour arrive. La veille, les deux familles sont allées décorer la salle de réception du restaurant, placer les cartons devant les assiettes, le matin même, fleurir la salle des mariages de la mairie et  les voitures, et dans ce tourbillon, il faut recevoir la famille lointaine, que l'on héberge à simple abri, ne pas oublier le rendez-vous chez le coiffeur…  
La cérémonie a enfin lieu. Les photos sont prises dans un parc romantique…Puis c'est le départ vers le restaurant.
A la table de Philippe se trouvent des jeunes filles qu'il ne connait pas, qui sont des amies de la famille du marié. En face de lui, une jeune fille brune de 23 ans ne le laisse pas indifférent. Il engage la conversation, dit qu'il aime aller pêcher en bateau.
Pour elle, la possibilité d'aller pêche en bateau lui rappeler des souvenirs de vacances passées avec la famille du marié. De bons souvenirs. Elle se dit pourquoi pas nous revoir, puisque nous sommes presque parents, elle qui se considère comme la cousine du marié.
Cette jeune fille est venue de sa Provence natale s'installer sur la cote d'azur  pour travailler dans une étude de notaire. Elle vient de réussir son diplôme de clerc et c'est son premier emploi.  
Arrivée dans la salle du restaurant, elle a cherché sa place, et a constaté qu'elle ne connaissait personne d'autres que deux amies de la famille du marié. Elle a interverti les cartons de façon à se trouver à côté des filles. En déplaçant les cartons, elle s'est trouvée en façon de Philippe, le frère de la mariée.
 Le  samedi suivant, la fameuse partie de pêche est organisée. C'est l'occasion de mieux se connaître. A midi le repas est pris à Simple Abri, dans le jardin, sous la tonnelle adossée à la cuisine d'été.

Pour Caroline, c'est un double coup de foudre pour Philippe et pour la maison.  Elle se sent tout de suite à l'aise, comme adoptée par la famille et par la maison. Même le chat, très indépendant, vient spontanément sur ses genoux. 
C'est un signe.   

samedi 21 juin 2014

caprices de milliardaires encore


La milliardaire qui fait grincer Gstaad

Isabelle Tasset
Heidemarie et Curt Engelhorn (Dukas)
Heidemarie et Curt Engelhorn  (Dukas)
Heidemarie Engelhorn a fait fermer plusieurs boutiques sur la luxueuse Promenade de la station. La milliardaire riposterait aux entraves mises à ses projets immobiliers
En cette période de Fêtes, les Champs-Elysées de l’Oberland bernois, autrement dit la Promenade de Gstaad, grouillent à nouveau du beau monde qui fait sa renommée comme l’une des stations les plus huppées de Suisse. Le défilé des élégantes en veste de fourrure sur jean slim et cachemire fait autant partie du spectacle que les vitrines somptueuses, exposées dans des petits chalets centenaires soigneusement rénovés, les traîneaux tirés par des chevaux ou les habits traditionnels des serveuses de l’hôtel Rössli.
Authenticité et luxe, les deux ingrédients magiques, cohabitent toutefois moins bien ces temps-ci. En septembre dernier, 17 commerces de la station étaient vides ou à remettre, selon le journal local Anzeiger von Saanen. En cause, une certaine Heidemarie Engelhorn, qui aurait fermé cinq magasins qu’elle gérait, selon son voisin commercial, Stephan Romang, propriétaire du salon de thé Charly’s, véritable institution au cœur de la Promenade.
Pas facile d’obtenir des informations, car lorsqu’on évoque cette dame à Gstaad, la conversation retombe. Les notables locaux se taisent. Son nom n’apparaît nulle part, sa photo non plus. Et l’intéressée n’a pas donné suite à nos questions. Une discrétion typique de son niveau de fortune qui l’a propulsée dans le club très confidentiel des super-riches où elle côtoie les Scheufele (Chopard) ou les Mantegazza (Globus voyages) sur leur yacht, d’après un portrait de son mari paru dans Manager-magazin-online . C’est pour lui qu’elle a loué Neuschwanstein, le château de Louis II de Bavière, pour son 85e anniversaire en 2011.
Ils se sont mariés en 1995. Curt Engelhorn est à la tête de près de 4 milliards de francs selon le magazine Bilan, depuis la vente à Roche, en 1997, de l’entreprise de pharma familiale Boehringer, dont il a fait, en trente-six ans, une société florissante. La commune respecte avec zèle la discrétion requise par le couple d’origine allemande, qui a jeté son dévolu sur Gstaad après avoir renoncé au paradis fiscal des Bermudes, trop loin de l’hôpital, à Londres et New York, respectivement trop triste et pas assez tempéré pour madame, selon une autobiographie non publiée de son mari intitulée Hefel und Teig («La levure et la pâte»).











dimanche 15 juin 2014

Exemple de l'honnêteté de mon voisin le milliardaire



Le majestueux cloître aux colonnes finement ouvragées intrigue les spécialistes. PHOTO/D.R
La polémique fait rage en Catalogne : un cloître médiéval vient de refaire soudainement surface au bord d’une piscine d’une luxueuse demeure située dans la cité balnéaire de Palamós.
Les autorités catalanes ont pris l’affaire très au sérieux : début juillet un bataillon d’une dizaine d’experts s’est rendu sur le bord de la piscine de la propriété « Mas del Vent » de Palamós pour y examiner les colonnes.

Ce branle-bas de combat a été déclenché par le professeur d’histoire médiévale de l’université de Gérone, Gerard Boto, qui a remarqué sa silhouette dans les pages du magazine Architectural Digest. 
Pour parer aux critiques, la société gérante du mas a fait savoir par communiqué qu’en 1966, les héritiers ont enquêté sur l’origine de leur cloître auprès de l’experte en art gothique au Metropolitan Museum de New-York, Carmen Gomez-Moreno. L’historienne attesta qu’il s’agissait d’un pastiche. Considérant donc qu’ils possédaient un faux cloître médiéval, les héritiers omirent de déclarer le monument privé à l’administration du Patrimoine Historique.

L’expert en architecture médiévale, José Miguel Merino de Cáceres, est du même avis : le cloître dont il avait vu lui aussi les excellentes photos publiées dans le magazine historique, lui avait paru un monument comme en carton-pâte. Le professeur Boto donne en partie raison à ceux qui pensent que le cloître est une « re-construction ». Mais seulement pour ce qui concerne la structure et les colonnes, pas ses chapiteaux, qu’il juge d’origine. Il avance même d’où ils pourraient provenir : du monastère de Pedro de Arlanza, considéré comme le « berceau de la Castille ».

Quant au « coup de vieux » de l’ensemble, il pointe du doigt les propriétaires d’avoir soumis ces pierres vénérables à l’action corrosive du chlore de la piscine.
Le directeur général du Patrimoine Culturel de la Generalitat, Joan Pluma, semble lui aussi persuadé de l’authenticité des chapiteaux qui auraient pu avoir été démontés lors de l’expropriation massive de biens ecclésiastiques opérée entre 1820 et 1824.
En tout cas, Gerard Boto et Joan Pluma, mandatés par la Generalitat, ont affirmé qu’il ne s’agissait ni d’un ensemble récent, ni d’une imitation...
La réponse dans quelques jours.
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Un cloître pour un million de pesetas

Hans Engelborn déboursa 1 million de pesetas en 1958 pour s’offrir le cloître qu’un antiquaire madrilène possédait dans une propriété privée. Héritier, avec son frère, de l’entreprise bio pharmaceutique Boehringer Mannheim (depuis racheté par la société Roche), il fit transporter les pierres jusqu’à son mas de la Costa Brava.
À l’époque, la reconstruction fut supervisée par les services de la municipalité de Palamós qui suivirent le processus pas à pas. Le propriétaire actuel est son neveu Kurt Alexander Engelhorn dont la fortune se place au 120e rang mondial.
À la mort de son oncle, en 1960, puis de son père, le neveu hérita des possessions familiales, dont la propriété de Palamós.
Ne souhaitant sans doute pas voir débouler les services fiscaux et du patrimoine, le nouveau propriétaire mit rapidement fin aux frasques artistiques de son oncle. Dès lors, le charme médiéval de la propriété allait progressivement tomber dans un relatif oubli, grâce notamment à la discrétion des employés de la propriété
L'indépendant. 
http://www.lindependant.fr/2012/07/19/un-mysterieux-cloitre-decouvert-dans-un-jardin-de-palamos,153615.php

Simple abri: de 1972 à 1985, manipulations du voisinage


De 1972 à 1985.

La vie continue à s'égrener doucement.  Rémi est toujours sur Paris mais sa région d'origine lui manque. Le stress de la vie parisienne lui pèse de plus en plus. Il pense à revenir sur la côte. Pour ça il lui faut trouver un autre emploi qui lui permette d'entretenir sa famille. Son fils aîné va sur ses 14 ans. Il craint de le voir se laisser influencer par les bandes des cités. Il tourne le pour et le contre dans sa tête depuis quelques mois déjà quand il tombe sur l'horoscope de Madame Soleil, qui lui affirme que l'année à venir (1972) sera l'année de grands changements.

Ses craintes s'envolent.  C'est décidé, il faut retourner vers NICE.  Il lui suffisait surement d'un petit coup de pouce qu'il a cru trouver dans la lecture des prédictions de Mme Soleil.

Il commence d'abord par chercher une place dans une entreprise ou il exercerait des fonctions similaires. Ce fut fait assez rapidement. Il est engagé pour début août à Carros. 
Maintenant il faut vendre l'appartement pour pouvoir acheter autre chose sur la côte.  L'appartement sera vendu en un mois au prix souhaité. Les déménageurs n'ont pas encore enlevé tous les meubles que les nouveaux propriétaires sont déjà là avec les leurs.

Début juillet toute la famille arrive et s'installe à Simple Abri dans l'appartement du premier étage. C'est exigu mais c'est les vacances,  des vacances de deux mois.  Rémi occupe la majeure partie de son temps à la recherche d'un appartement car il faut penser à s'installer. 

Il trouve finalement à cagnes sur mer, un immeuble en construction dans lequel il reste un appartement plus grand que celui de Paris. Sa fille aura sa chambre, les deux garçons partageront le seconde, et Rémi et Michelle la leur.

Il faut donc inscrire les enfants dans les établissements de cagnes. La rentrée se fera alors que l'appartement n'étant pas fini, ils continuent de vivre à Simple abri. Tous les matins Michelle assure le transport scolaire. Elle doit traverser NICE d'est en ouest,  anticiper les embouteillages, pour déposer les trois enfants dans chacun de leu établissement scolaire, et revenir en sens inverse, puis le soir  refaire le trajet  pour aller chercher tous le monde.

            Les travaux n'avancent pas rapidement. Simple Abri n'est pas équipé pour l'hiver, pas isolé. Il fait froid le jour, la nuit, et la toilette sans chauffage, sans une grande quantité d'eau chaude est difficile.
Noel arrive et l'appartement de Cagnes n'est toujours pas habitable. 

 A la rentrée de janvier 1973, les voyages reprennent entre Simple Abri et Cagnes. L'appartement dispose maintenant de l'eau courante, les sanitaires et la cuisine sont terminés. Manque le carrelage dans les autres pièces et l'électricité. Tant pis.
L'emménagement a lieu fin janvier.  La famille fait du camping dans son propre appartement. Lorsque les carreleurs arrivent, les meubles sont déplacés. Mais enfin chez soi.

Désormais les voyages se font dans l'autre sens, le vendredi soir jusqu'au lundi matin, et tous les ponts, les congés, les jours fériés…

En 1982,  Andréa alors âgé de 82 ans décide d'organiser sa succession. Elle donne le premier étage à Rémy, et le rez-de-chaussée à Michel, selon le vœu de chacun.   

Rémy,  qui se souvient bien de l'exiguïté des lieux fait alors agrandir le séjour en fermant la moitié de la terrasse et en créant une cuisine dans la surélévation de la couverture un porche sur l'entrée du rez-de-chaussée. L'appartement  gagne une quinzaine de m².

Les travaux sont confiés à François qui a ouvert une entreprise de maçonnerie dans la villa les Rosiers.  Il a agrandie le bâtiment en y créant un petit local à l'arrière, pour y faire travailler une secrétaire, et un comptable. Il emploie son père comme maçon, lequel construira l'extension de la villa Simple Abri.

La maison est maintenant plus souvent ouverte, ce qui ne fait pas l'affaire de François. En bon italien, il parle beaucoup, charme beaucoup. Il convainc Rémy que le chemin est communal, que tout le monde peut l'emprunter et y stationner. Fort de cette analyse, il installe un portail qui relie la villa les Rosiers au chemin.

Un jour le portail installé par André, cède sous les maltraitances de François. Rémy, bon bricoleur, en fabrique un autre en bois. Il le pose, le peint, et demande qu'il soit maintenu fermé.

François, qui n'approuve pas, commence à discuter avec les autres riverains du chemin et leur fait comprendre que ce chemin doit aussi desservir leur propriété, qu'ils ont des droits, que nous ces droits doivent être respectés.

L'une des propriétés vient de changer de propriétaire. La dame qui était devenue propriétaire en  1954 vient de décéder en léguant la maison à son jardinier, un italien immigré en France parce qu'il avait fuit le système Mussolini, marié avec une pauvre fille mère, dont il a reconnu l'enfant et qu'il épouse en 1942 enceinte de son second enfant.

Dès que la pauvre dame a rendu son dernier souffle, l'italien Ernesto, s'empresse de venir vivre dans la villa Maria.
Son fils, s'installe dans l'ancien appartement d'Ernesto. N'ayant pas de garage, il vient régulièrement stationner dans le chemin. Ni son père, ni sa père n'ont de voiture, ils n'ont pas le permis. Mais pourtant, au bout de quelques années il ouvre aussi un accès dans le chemin sous forme de portes de bois aboutissant à un garage qu'il édifie au fond de sa propriété et contre celle de François.

Ni une ni deux, François construit un cabanon, profitant du mur édifié par Ernesto.

En 1980, c'est bien établi, le chemin sert d'accès aux propriétés riveraines.

A ce moment là, la troisième propriété qui n'est occupé par ses filles que l'été depuis la mort du propriétaire, change aussi de mains. La dame, du même âge qu'Andréa, donne la maison en indivision à ses deux filles.

L'une de vient jamais, l'autre vient seulement en août. Elle habite un pays d'Afrique du nord, et désormais stationne aussi dans le chemin.

Rémy, que les conflits paralysent, ne sait pas et toujours sous la coupe de sa mère, ne réagit pas. Michel ne vient jamais et se désintéresse de la propriété.
Les enfants de Rémy sont devenus majeurs. Ils viennent avec leur véhicule. Rémy compte sur cette occupation du terrain pour que l'habitude soit prise et que les voisins cessent de stationner. Mais les enfants ne vivent pas là, et Rémy non plus.
Donc le reste de la semaine, les autres sont maîtres des lieux.

En 1983, le fils aîné de Rémy se marie dans la commune. La réception du mariage a lieu à Simple Abri. L'année d'après  un petit garçon naît. Andréa est arrière grand-mère. Le baptême aura lieu à l'église du village au printemps suivant. Ceux sont ses derniers instants de joie, Andréa s'éteint en novembre. 

Une page va se tourner. 

            


  

samedi 14 juin 2014

Autres propriétés de mes voisins milliardaires: EN SUISSE

Un chalet, ça n'était pas assez grand!  Le chalet au dessus à donc été acheté et un tunnel de raccordement a été fait entre les deux, afin que les invités ne prennent pas froid.  Que de délicatesse pour d'autres et de brutalité pour nous. Notre compte en banque n'est pas suffisamment fourni, en voilà la cause! 





Les autres propriétés des mes voisins milliardaires. MONACO

La villa la plus à gauche a été acquise
en 2003 environ.  A coté de l'Eglise
Sainte Dévote, avec vue directe sur le port, l'arrivée du Grand Prix, à portée de promenade du casino... Bref une luxueuse propriété... vide d'habitant.. servant uniquement pour quelques pièces en semi sous-sol aux bureaux de la société de gestion du patrimoine de la famille. Gaspillage. 







La modeste maison en cours de rénovation. Et vue de St Dévote.













Alors, mon petit bout de chemin, n'est ce pas un caprice de leur part?